L’AFRO URBAIN : 6 STYLES DE DANSES A DECOUVRIR!

Notre cours d’afro urbain regroupe  6 styles de danses. 

 

Le contenu du cours 

Le cours d’afro urbain est le plus complet de nos cours. Il regroupe en réalité 6 styles de danses enseignés sur une saison. Dans ce cours, on aborde les techniques adaptées à chaque niveau, les derniers pas à la mode, les attitudes, l’énergie, la chorégraphie, l’improvisation, le tout dans la bonne humeur.

À la suite d’une forte demande, nous vous proposons cette saison 3 niveaux. Venez apprendre ces danses afro urbaines pour ensuite vous enjailler !

Les bénéfices 

Danses de joie par essence, elles vous permettent d’évacuer le stress. Cardio, renforcement musculaire, habilité motrice mais aussi convivialité, estime de soi, créer des liens, découvrir d’autres cultures, voyager.

Le Ndombolo

L’histoire

Le Ndombolo est une animation dansante d’origine congolaise (RDC, Ex Zaïre) qui prit de l’envol pour donner son nom à la musique congolaise. C’est grâce au charismatique chanteur JB Mpiana, lorsqu’en 1997, il sort le titre Ndombolo, au beat très festif, que le Ndombolo connaîtra un énorme succès et fera la joie des discothèques d’Afrique et d’Europe. Textuellement le Ndombolo signifie : le jeté de fesses!  Le but du Ndombolo est de faire danser dans une forte ambiance de joie.

La gestuelle

La gestuelle du Ndombolo est issue des danses traditionnelles d’Afrique centrale. Le Ndombolo s’enrichit aussi de pas issus de la vie quotidienne. Festive et ludique, cette danse est caractérisée par des mouvements sensuels ou saccadés du bassin, le Ndombolo est dansé aussi bien par les hommes que par les femmes. Cette danse valorise les courbes (bassin, ventre, fesses) et elle est idéale pour raffermir le corps tout en s’amusant !

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Le Coupé Décalé

L’histoire

Le coupé-décalé est une danse et un style musical apparus en 2002 en Côte d’Ivoire et dans la communauté ivoirienne vivant en France notamment dans les milieux ivoiriens de Paris. Né de l’expression « coupé-décalé-travaillé », En Nouchi, l’argot ivoirien, « couper » signifie tricher, voler ou arnaquer et « décaler », partir ou s’enfuir, donc couper-décaler peut se comprendre comme arnaquer quelqu’un et s’enfuir. À ses débuts, les paroles mettaient souvent en valeur ceux qui ont utilisé la ruse pour faire fortune ! C’est une danse très festive qui célèbre la joie et toute occasion heureuse.

La gestuelle

Les mouvements sont très variés. Il a été adopté par beaucoup de DJ tant en Côte d’Ivoire (Molare, Doug saga..) qu’en France et a été popularisé à l’international notamment grâce à des groupes comme Magic system, ou Serge Beynaud ou DJ Arafat. On dénombre plus de 150 pas de coupé-décalé : Guantanamo, (qui consiste à mimer le port de menottes), le Pétanco (qui consiste à mimer la coupe du bois), la Caméra (on mime la caméra avec les mains), le Konami, La grippe aviaire (qui consiste à s’agiter frénétiquement) le Gninguin-Gniguin ou encore le Kpanguor etc. En constante évolution, les pas de danse sont inspirés par des attitudes de vie quotidienne et se nourrissent de l’actualité.

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L’Afrobeats

L’histoire

L’afrobeat à l’origine est un mélange de musique traditionnelle nigériane, de Jazz de Highlife de funk et de chant accompagné de percussions popularisé en Afrique dans les années 1970. Le genre est créé par l’activiste, multi-instrumentaliste nigérian et leadeur Féla Kuti qui a inventé le terme. Afrobeats ou Afrodance (pour la danse) est un genre émergent depuis le début des années 2010.

Ce nouveau genre et cette nouvelle génération d’artistes, puisent dans le riche patrimoine musical du Nigeria de Fela KUTI, mais aussi le Dancehall jamaïcain, ainsi que diverses musiques locales et plus contemporaines comme le R’n’B et Hip Hop américain. Ces nouveaux artistes ont inventé un son charismatique et ont ajouté leur propre personnalité pour le rendre plus pertinent pour les jeunes.

Ce mouvement veut présenter une Afrique positive et représenter une génération AFRO numérique plus connectée qui ne connait pas de frontières. Ce nouveau courant afrobeats a élargi son audience culturelle avec un rayonnement sur toute l’Afrique et à l’international grâce à la diaspora nigériane (Europe, USA).

L’Afrobeats est principalement produit entre Lagos, Accra et Londres. La puissance des réseaux sociaux et internet, ont contribué à faire de ce mouvement une industrie très lucrative. Les artistes nigérians sont des super stars au Nigéria, en Afrique et à l’international.

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L’Azonto

L’histoire

L’azonto, ce mouvement (danse et musique) est né dès l’année 2000 au Ghana, mais il ne sera vraiment révélé qu’en 2006 et encore plus tard en France. La danse se caractérise principalement par son expressivité et par l’humour qui émane de ses mouvements. À travers les pas de cette danse, le danseur mime aux autres ce qu’il fait dans la vie, les activités qu’il est amené à faire dans son travail. Les mouvements sont toujours effectués avec beaucoup d’humour, le danseur joue un rôle et fait preuve de dérision. Cette expressivité se lit en particulier dans les expressions faciales qui sont rieuses et désinvoltes. Et la danse devient prétexte pour communiquer des émotions.

 

La gestuelle

Les mouvements de base de l’Azonto sont donc la reproduction de gestes quotidiens que l’on mime, comme le fait de conduire, de faire le ménage ou la vaisselle, de se laver les mains ou bien encore de se coiffer, se maquiller, etc. Les gestes sont principalement ceux qui incluent l’usage des mains. Toutefois, tout le corps est sollicité, tout le corps bouge. Le mouvement du pied (qui entraîne lui-même un mouvement de la jambe, droite ou gauche, c’est selon) est caractéristique de l’Azonto.
Le propre de ce type de danse est que chacun se l’approprie à sa manière, créé sa propre chorégraphie et son propre style en composant avec les pas existants puis en inventant les siens.

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L’Afrohouse

L’histoire

La House Music a toujours pioché dans les sonorités africaines depuis des années, on parlait alors de « Tribal House ». Généralement, il s’agissait de DJ européens qui sélectionnaient des chants traditionnels africains, puis en incluaient certains extraits dans leurs mix. Ou encore s’inspiraient des rythmes de ces chants pour construire une chanson autour. Aujourd’hui, la scène Afro-House a ceci de différent qu’elle est conçue par des artistes africains eux-mêmes, et qu’il ne s’agit pas uniquement de samples. Ils créent des chansons, puis des danses, voire toute une culture autour.
L’afrohouse existe depuis très longtemps, et un des pays pionniers est l’Afrique du Sud, avec le courant musical intitulé « Kwaito ». 
L’Afro House angolaise est un genre musical particulièrement populaire en Angola, où s’est également développé le Kuduro depuis les années 90. Ces deux styles relativement proches, mêlent rythmes traditionnels et rythmes house, techno. Il en découle une danse aux multiples influences mais au style unique, reflétant l’esprit de la jeunesse africaine et urbaine d’aujourd’hui.

 

 

 

 

 

 

 

La gestuelle

Les pas sont proches du Kuduro-Il existe plus d’une centaine de pas, qui sont associés à des musiques : Kwankwaram – Dayuki – Abrir – Kapri – Banzelo – Saplogie – Palaganzan – Segura – Bate no peito – Boca da minga – Do fréderico – Bela- Mama Swagg, etc.

 

L’Afro fusion (Nouveau dans notre école)